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MARTENITZA DE BULGARIE/ CAMPAGNE

 




Pour les Bulgares, le 1-er mars est une fête qui marque en couleurs l’arrivée du beau temps, bien avant l’arrivée du printemps astronomique. Ce jour-là, les Bulgares portent une «Martenitza » et en offrent à leurs amis en guise de porte-bonheur.

Institut culturel bulgare vous souhaite une très bonne fête de printemps!  Soyez heureux et en bonne santé !  Avec nos vœux les plus sincères de force, d'amour et d'un nouveau départ radieux!

A l'occasion du 1er mars cette année, nous avons décidé de raconter à nos amis français cette merveilleuse coutume bulgare, en leurs préparant une surprise. Au cours de la campagne « Martenitza de Bulgarie », une initiative de l'Institut culturel bulgare à Paris, des milliers de martenitzas bulgares ont été remises dans la capitale française et des bénévoles ont raconté aux curieux résidents et invités de la ville, l'histoire de l'une de nos plus anciennes traditions célébrée en Bulgarie  le 1er mars et le message et la valeur actuelle de cette coutume. Aujourd'hui sur la place du Trocadéro et  le quartier artistique de Montmartre à Paris, plus de 10 000 français et étrangers de différents pays ont rejoint la vieille tradition bulgare du mois de mars, en portant des martenitzas.  Elles étaient accompagnées de cartes avec des informations sur la fête et le symbolisme des fils rouges et blancs entrelacés, en deux langues - français et anglais.  Le projet « Martenitza de Bulgarie » est une initiative de l'Institut culturel bulgare à Paris et suit la cause de l'institution de promouvoir  la culture contemporaine de la Bulgarie, ainsi que les traditions du pays de manière accessible et moderne à un large public international. Depuis 2017, l'élément Martenitza a été inscrit sur la Liste représentative des éléments du patrimoine culturel immatériel  de l'humanité de l'UNESCO après une nomination commune des quatre pays partageant cette coutume - Bulgarie, Roumanie, Moldavie et Macédoine du Nord.  Bien que l'origine des martenitzas ("martinka" en Macédoine et "martyr" dans le Nord) soit contestée et que les légendes qui l'entourent soient différentes, les bulgares, les macédoniens, les roumains et les moldaves échangent des fils blancs et rouges tissés, le 1er mars dans l'attente du printemps.

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